Dans ce blog, point de vie trépidante d'adolescente déjantée, point de débats politiques sur la nécessité d'une intervention militaire dans un pays quelconque, point de frasques scabreuses et croustillantes du dernier people à la mode.
Vous trouverez ici des textes de fictions, complets ou non, qu'il vous plaira ou non de lire. Si vous appréciez particulièrement un texte, n'hésitez pas à demander une suite, qui arrivera peut-être, en fonction de l'inspiration et de la disponibilité.
Ce message s'affichera en permanence en haut de la première page, les autres seront postés du plus récent au plus ancien.
Posez vos questions si vous en avez, j'y répondrai dans la mesure de mes moyens.
Actuellement, trois auteurs participent à ce blog : moi (Encre), Mili, et Momo-chin.
Passez un bon moment !
lundi 25 janvier 2010
jeudi 16 juillet 2009
Poème sans titre
Si lors d'une nuit blanche, tu vois gris
reste dans le noir et écoute ces cris
Qui te font du bien autant que de l'amour
Pleure dessus à t'en rendre sourd
Si cette soudaine solitude te fait peur
Te torture et t'enserre le cœur
Écoute ces murmures qui apaisent tes nuits
Et cette voix qui sera toujours ton amie
Si ton spleen ne te quitte plus
Le cru du cœur comprend
Le hurlement d'une langue inconnue
Et te délivre de tous tes sentiments
Quand tout te fait mal ou te blesse
Laisse-toi pénétrer par ce concentré de passion
Rien ne résiste à cette déesse :
La musique, et son pouvoir de guérison.
reste dans le noir et écoute ces cris
Qui te font du bien autant que de l'amour
Pleure dessus à t'en rendre sourd
Si cette soudaine solitude te fait peur
Te torture et t'enserre le cœur
Écoute ces murmures qui apaisent tes nuits
Et cette voix qui sera toujours ton amie
Si ton spleen ne te quitte plus
Le cru du cœur comprend
Le hurlement d'une langue inconnue
Et te délivre de tous tes sentiments
Quand tout te fait mal ou te blesse
Laisse-toi pénétrer par ce concentré de passion
Rien ne résiste à cette déesse :
La musique, et son pouvoir de guérison.
Momo-chin
La Mangeuse d'Artistes
Un poème un peu à l'arrache que j'ai fait hier soir... 'Fin bref ^^" Toujours pas du grand art, mais on fait avec
-----------
La mangeuse d'artistes
Est une dame blanche
Imprévisible
Insaisissable
Qui séduit les hommes
Qui devient leur muse
Elle leur arrive
Grâce à la chance
Soit pour une heure
Soit des semaines
Et à travers le monde
Elle en aime des centaines
Fait des heureux
Des malheureux
Et ils l'adorent
La glorifient
L'attendent
La pleurent
Ils la cherchent
La détestent
Par son absence
Aléatoire
La retiennent
En profitent
Ils écrivent pour Elle
Chantent rien que pour Elle
Ils veulent la séduire
Mais ce n'est qu'un rêve
Simple chimère
Une voleuse
Inconnue
Magnifique
Unique
Une fille
Aussi facile
Que difficile
Que l'on attrape
Et qui s'envole...
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La Mangeuse d'Artistes
La mangeuse d'artistes
Est une dame blanche
Imprévisible
Insaisissable
Qui séduit les hommes
Qui devient leur muse
Elle leur arrive
Grâce à la chance
Soit pour une heure
Soit des semaines
Et à travers le monde
Elle en aime des centaines
Fait des heureux
Des malheureux
Et ils l'adorent
La glorifient
L'attendent
La pleurent
Ils la cherchent
La détestent
Par son absence
Aléatoire
La retiennent
En profitent
Ils écrivent pour Elle
Chantent rien que pour Elle
Ils veulent la séduire
Mais ce n'est qu'un rêve
Simple chimère
Une voleuse
Inconnue
Magnifique
Unique
Une fille
Aussi facile
Que difficile
Que l'on attrape
Et qui s'envole...
Momo-chin
mardi 14 juillet 2009
L'Ange et la Nymphe
C'est un poème qui m'a été inspiré en parlant de choses et d'autres avec une amie, qui se reconnaîtra peut-être... merci à elle en tout cas, parce que même si ce n'était pas intentionnel, et même si je ne suis pas une grande poète... XD
Une Ange, un jour, regarda à travers
Le ciel, et vit une rivière claire,
Où nageait la Nymphe aux yeux saphirs.
Leurs regardes se croisèrent, et la tempête
Ravagea leurs cœurs ; Les eaux et l'air
Ne firent alors qu'un. Au clair de la lune,
La Nymphe perdit le sommeil pour penser
À son Ange amoureuse. Quant à l'Ange, elle
Aima chaque jour plus fort les saphirs
De sa Nymphe. Sous les étoiles, tous les soirs,
Elles prièrent Lucifer de leur donner
Le bonheur, et l'ange déchu les punit :
Condamna l'une à aimer l'homme de terre,
Et l'Ange à son tour, devint asexuée.
L'Enfer lui-même rejeta cet amour
Qui défiait la vie et ses éléments.
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L'Ange et la Nymphe
Une Ange, un jour, regarda à travers
Le ciel, et vit une rivière claire,
Où nageait la Nymphe aux yeux saphirs.
Leurs regardes se croisèrent, et la tempête
Ravagea leurs cœurs ; Les eaux et l'air
Ne firent alors qu'un. Au clair de la lune,
La Nymphe perdit le sommeil pour penser
À son Ange amoureuse. Quant à l'Ange, elle
Aima chaque jour plus fort les saphirs
De sa Nymphe. Sous les étoiles, tous les soirs,
Elles prièrent Lucifer de leur donner
Le bonheur, et l'ange déchu les punit :
Condamna l'une à aimer l'homme de terre,
Et l'Ange à son tour, devint asexuée.
L'Enfer lui-même rejeta cet amour
Qui défiait la vie et ses éléments.
Momo-chin
jeudi 2 juillet 2009
La danseuse
J'avais eu l'idée de ce poème il y a très longtemps. Je séchais dessus, et je n'arrivais pas à progresser, étant toujours insatisfaite. Récemment, j'ai eu une idée, et tout le reste a suivi.
*****
La danseuse au visage d'acier,
Elle s'envole, et deux trois entrechats,
En grâce, elle a,
La gloire à ses pieds.
La danseuse au visage émacié,
Elle tourne, et à chaque pas,
Carmin, elle a,
Le sang à ses pieds
La danseuse au visage glacé,
Elle s'allonge, et s'en va,
Si blanche, elle a,
La mort à ses pieds.
La danseuse au visage damné
Elle s'élance, et s'ébat,
Fière, elle a
L'enfer à ses pieds.
*****
La danseuse au visage d'acier,
Elle s'envole, et deux trois entrechats,
En grâce, elle a,
La gloire à ses pieds.
La danseuse au visage émacié,
Elle tourne, et à chaque pas,
Carmin, elle a,
Le sang à ses pieds
La danseuse au visage glacé,
Elle s'allonge, et s'en va,
Si blanche, elle a,
La mort à ses pieds.
La danseuse au visage damné
Elle s'élance, et s'ébat,
Fière, elle a
L'enfer à ses pieds.
mercredi 17 juin 2009
Pierrot
On a vu Pierrot s'endormir sur le croissant
De la lune, il y est monté un soir d'été
Où tout allait mal : Colombine l'avait quitté
Sans dire au revoir, sans un bruit, en le laissant
Seul dans un monde trop cruel pour sa blancheur
Immaculée, et pour son infinie candeur.
Spectre de tristesse sur l'astre argenté, il est
En train de rêver au bonheur, à la lueur
D'un sourire, la larme immortelle sur sa joue
Est la seule tache noire dans son cœur trop naïf, où
Se lit toute la douleur d'une pauvre marionnette,
Pierrot, qui n'a pas su aimer assez, peut-être.
De la lune, il y est monté un soir d'été
Où tout allait mal : Colombine l'avait quitté
Sans dire au revoir, sans un bruit, en le laissant
Seul dans un monde trop cruel pour sa blancheur
Immaculée, et pour son infinie candeur.
Spectre de tristesse sur l'astre argenté, il est
En train de rêver au bonheur, à la lueur
D'un sourire, la larme immortelle sur sa joue
Est la seule tache noire dans son cœur trop naïf, où
Se lit toute la douleur d'une pauvre marionnette,
Pierrot, qui n'a pas su aimer assez, peut-être.
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Un truc pas super que j'ai fait à l'arrache en feuilletant un manga de Kaori Yuki, dans lequel une phrase parlait d'un Pierrot... ^^"
Momo-chin
samedi 16 mai 2009
La Bise
Autre 'poème' de ma patte, mais pas de rimes cette fois (la flemme)...
Grondement dans les arbres, agite les feuilles
Folie fraiche des fades saisons ; Air de musique
Entre les roseaux ; Tu dessines sur le lac
Tu soulèves les cheveux de ma belle Dulcinée
Ou la jupe d'un épouvantail perdu ; Un vent
De folie sur une île lointaine du Pacifique
Et de fines arabesques qui volent sur le sable blanc
D'un souffle léger, fait pleurer les cerisiers
C'est lui, celui qui embrasse ta joue - La bise.
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Grondement dans les arbres, agite les feuilles
Folie fraiche des fades saisons ; Air de musique
Entre les roseaux ; Tu dessines sur le lac
Tu soulèves les cheveux de ma belle Dulcinée
Ou la jupe d'un épouvantail perdu ; Un vent
De folie sur une île lointaine du Pacifique
Et de fines arabesques qui volent sur le sable blanc
D'un souffle léger, fait pleurer les cerisiers
C'est lui, celui qui embrasse ta joue - La bise.
Momo-chin
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